Publié le 21 Novembre 2023

bonjour,

Quelques jours après que Stéphane Reynaud nous ait parlé de Lilith, en kiosque, un hors-série "2003, l'histoire immanquable de 10 albums cultes" des Inrocks  met à l'honneur Lilith, avec Blur, Radiohead, Biolay, Massive Attack, Madonna, The Strokes... Quand on a les archives des Inrocks, ça serait bête de ne pas essayer de faire la grat' pour survivre... donc faudra pas y chercher de l'inédit...

Il s'agit donc de reproduire les propos tenus à Stéphane Deschamps en décembre 2003.. mais avec des photos un petit peu rares (pris via l'agence Getty images pour certaines) et anachroniques (mais mention spéciale à la photo en noir et blanc de concert).  C'est agréable de les découvrir avec ce beau format... mais on peut aussi préférer les illustrations d'époque, très bit'cturales, d'où le titre inchangé: A poil sous l'orage. C'était l'époque où Jean-Louis refusait toute photographie et refilait ses faces de "dragon - aux milles visages" à la presse peu ravie de la dêche... On notera qu'il a toujours refusé de "refaire une bite en or" :  "C'est l'amour au naturel. Qui m'a fait comme ça. Sans pudeur particulière" faisait-il chanter à son amie Christophe Pie.

Mais soit, l'article est quand même très chouette, et quelle introduction de Deschamps (Murat aurait-il eu l'idée de garder une effigie du journaliste à côté de celle Didier?): "pour en arriver là, à cette orgie libératrice, à ces fulgurances qui durent, il lui a fallu lire beaucoup de livres, écouter beaucoup de disques. Murat connait les classiques - ou même plus ancien que ça. Murat qu'on traitait hier encore comme un paysan inspiré, est devenu une faune, un petit Dieu immortel et fécond aux pouvoirs surnaturels". AHHH!!!  MURATIENS LILITHIENS de tous les pays, levez-vous et unissons nous! Frottons-nous... de ses "voluptueuses giclées" de "sperme spirituel".... Euh, pardon...  C'est pas moi, c'est eux qui ont commencé... Merci Stéphane Deschamps !(à ne pas confondre avec celui de France bleu).

Quant à Murat, il est en verve, affirmant qu'il n'écrira plus de chansons "assis" (ça deviendra une longue histoire), qu'il se bagarre avec ses gênes familiaux, parlant de sa voix et le reliant au saxophone... et on pourra avoir un pincement au coeur quand il affirme qu'il ne se cache pas  : son ambition est "de remplir des Zenith" (même s'il indique ensuite qu'il ne peut pas faire de tubes, "il y a des résonances dans ma voix qui ne passent pas dans toutes les oreilles, même avec une bonne chanson" et "je ne pourrais pas me regarder dans une glace".  Ses propos sur la voix de Carla Bruni nous ramènerait à la libido (il cite Iglesias), je ne veux plus m'échauffer mais ils aident à comprendre pourquoi il fera appel à elle. A ce sujet, il indique : "une fois, les programmateurs d'une grosse radio FM m'ont dit: nos auditeurs sont à majorité féminine, on ne peut pas programmer ton disque parce qu'il est sexuellement agressif"... La bonne blague (je me refuse à tirer la conclusion, chères camarades nombreuses, chères lectrices, que vous n'êtes qu'une bande de machos, des Erectus refoulés, ou simplement des libineuses... non même pas, vous êtes très sages). 

"En faisant des disques, je lance des petits phares" dit-il aussi. Et on peut raconter toutes les conneries autour, ils brillent toujours.

 

PS: Dans l'édito de ce hors série, F. Vergeade:  "En bon stakhanoviste, JLM echaine son 3e disque en 3 ans et signe le premier triple album vinyle de sa carrière, le mémorable lilith. Avant de laisser un vide immense au printemps 2023 en disparaissant brutalement".

LE LIEN EN PLUS

"Murat chante comme s'il avait un batteur de jazz suant dans la bouche" est-il écrit dans l'article ci-dessus... C'est avec Morituri qu'il s'est approché du jazz... avec l'aide de Gael Rakotondrabe... au piano.

Il sort un disque!

https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/open-jazz/gael-rakotondrabe-une-revelation-sort-de-l-ombre-5833476

Release party au studio de l'hermitage le 30/11.

Voilà où il amène les Beatles:

LA REFERENCE EXPLICITée EN PLUS

La beauté de "Sky lumina" (l'album de Christophe Pie) que mon esprit tordu mais éclairé est allé chercher dans le texte ci-dessus:

Texte de Jean-Louis Bergheaud (1952-...)

A très vite.. avec une interview inédite, pleine d'amour, tout aussi naturel.

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après, #vieilleries -archives-disques

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Publié le 19 Novembre 2023

bonsoir,

Petit tour au supermarché culturel où Noël approchant, quelques beaux et gros livres sont apparus... et j'ai glané quelques "mentions" de Jean-Louis Murat. Rien de folichon.

- D'abord, un livre sur Françoise Hardy:   (son Inter-ViOUS ET MURAT de 2010 revient plus en détails sur Memory divine)

Bibliographie N°10 : Farmer, Indochine, Hardy, et journalistes rock

Bon, pour trouver le nom de Murat, sinon, il reste les nombreux livres sur Mylène Farmer et sur Indochine.

 - Christian Eudeline... qui oublie quand même un tout petit peu beaucoup le succès de "si je devais manquer de toi" par exemple... même si on ne peut pas nier le coup de projo brûlant sur Murat avec le single "regrets".

 

 

 

- Ce livre-là est plus ancien, j'avais oublié de le faire figurer sur le blog. Il est "signé" F. Lecoeuvre. Pas vraiment de développement sur Jean-Louis Murat.

 

 

 

- Côté indochine, là aussi, j'avais ça sous le coude depuis un moment: Jean-Eric Perrin (octobre 2021) Des petits textes sur les collaborations avec Jean-Louis Murat (où il n'est pas précisé le rôle de Rudy Léonet...).

 

 

 - Pour finir, "Radio Rock, les grands animateurs racontent" par Laurent Jaoui (castormusic), un livre d'entretiens avec Assayas, Patrice Blanc-Francard, Jean-Jean, Conte, Jouffa, Lang, Manzoni, Mazoyer, Valli, Zegut, Bigot et Varrod et quelques autres. Si je ne m'abuse, seul Bigot a déjà écrit son livre de souvenirs (on en a causé en 2017), Jouffa a sans doute du le faire aussi... et dans le lot, on imagine bien, forcement, certains parler de Jean-Louis Murat. J'ai acheté...  et côté "muratien", c'est un peu décevant. Pour le reste, cela fera un petit complément aux  interviews "rock critiques" de Gonzaï.

Je me suis tout de suite dirigé vers les pages "LENOIR"... Où il raconte son premier essai de Black Session sur Europe 1... avec "Cheyenne Autumn" (Laurence Boccolini a déjà raconté ses souvenirs avec le visiteur régulier) mais préfère ensuite s'attarder sur Daho et Dominique A ("le premier, tout à coup, la langue est présente, c'est une langue de poète"...).

Je file ensuite sur l'interview de Didier Varrod qui aurait plu à Matthieu puisqu'elle revient longuement sur l'historique qui l'intéressait tant avec JL Foulquier. Murat figure dans une petite énumération (dernière photo)... et c'est tout.. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On reviendra vite sur le cas de Didier Varrod dans un prochain article "bibliographie"... et pour énerver tout le monde, on termine avec le propos sur "les français" de Michka (bon, on le connait, rien d'étonnant):

 

 

LE LIEN ARCHIVES EN PLUS

En lien avec Assayas, Matthieu avait interviewé pour Surjeanlouismurat.com  Benoit Laudier, collaborateur du "dictionnaire du rock". C'était en 2014 :   http://www.surjeanlouismurat.com/2014/11/inter-vious-et-murat-n-17-benoit-laudier.html

Et juste avant, ce même Matthieu nous avait livré une interview audio (fait avec Thibaud)  du maître "Very good trip" (dommage qu'il faille tendre l'oreille pour entendre fugacement la voix de Matthieu) dans lequel on retrouve beaucoup de propos du bouquin ci-dessus.

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #bibliographie

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Publié le 16 Novembre 2023

On a parlé il y a peu de Stéphane Reynaud suite à une publication d'article dans le Dauphiné Libéré l'occasion de  revenir sur son parcours 

Il confie quelques mots à la médiathèque de THONON pour rendre hommage à Jean-Louis Murat en nous donnant la liste de ses chansons préférées... C'est en ligne depuis ce matin mercredi... le jour où les INROCKS sort un numéro spécial sur les meilleurs albums de 2003... dont LILITH... On verra ça rapidement.

 

Hommage à Jean-Louis Murat : le choix de Stéphane Reynaud
Publié le Mercredi 15 Novembre 2023 à 10h43
 

Le Thononais Stéphane Reynaud a été, vingt années durant, le fidèle batteur de Jean-Louis Murat, disparu le 25 mai dernier. Spécialement pour la médiathèque, il a sélectionné, dans le vaste répertoire de l'auteur-compositeur-interprète auvergnat, quelques chansons qu'il apprécie particulièrement, issues de quatre albums que vous trouverez dans le rayon "chanson francophone".

 

L'interview de Stéphane Reynaud
Lilith
Sur l'album "Lilith", qui date de 2003 et qui marque le début de ma collaboration avec Jean-Louis, j'aime particulièrement deux chansons : "A la morte fontaine" pour son esprit médiéval, son côté troubadour qui rappelle la chanson de geste du Moyen-Âge et qui lui correspondait parfaitement. Il y a également "L'âme qu'on nous arrache", dans une veine bluesy-groovy qui n'est pas sans me rappeler nos longues improvisations scéniques, en compagnie du talentueux bassiste, ami et compagnon de route Fred Jimenez. Les influences folk et blues se font particulièrement sentir dans cette chanson et les song-writers américains qu'aimait Jean-Louis (JJ Cale, Neil Young, Tom Waits, Dylan ... ) sont très présents. J'aime également beaucoup le texte, dont les paroles en disent long sur la perte de soi et de toutes ces petites choses que l'on oublie, qui nous sont enlevées au fur et à mesure du temps qui passe, par un monde formaté, froid, où la technologie voudrait supplanter la sensibilité et les émotions.
A bird on a poire

L'autre disque que j'aime beaucoup est un peu particulier, car c'est une collaboration entre Jean-Louis Murat pour les paroles, Fred Jimenez pour la musique et les arrangements et l'interprétation de Jennifer Charles, chanteuse du groupe Elysian Fields. Le disque s'intitule "A bird on a poire" et date de 2004. J'aime beaucoup le second titre : "Monsieur craindrait les demoiselles", les paroles sont drôles, les arrangements musicaux et les chœurs en font une très bonne chanson.
Moscou

Le disque suivant, "Moscou", sorti en 2005, comporte un morceau que j'aime beaucoup, qui s'intitule "Winter". Il met particulièrement en avant la guitare "slide" de Jean-Louis et on sent bien l'utilisation du bottleneck, cet accessoire s'apparentant à un goulot de bouteille, utilisé par les bluesmen et qui donne la couleur à ce titre. J'adore la manière dont nous interprétons cette chanson, on sent bien que c'est une première prise, une "one take ", et nous jouons vraiment bien ensemble. C'est toujours un plaisir de la réécouter. Sur ce disque, j'aime aussi "La fille du capitaine" et "Ce que tu désires" avec Carla Bruni. Le premier titre, pour ses paroles, qui parlent de l'incendie de Moscou par les troupes du Tsar, pour provoquer la déroute de Napoléon. Le texte en dit long sur ce sombre épisode... Le second titre, pour le duo chanteur-chanteuse, les deux voix et les deux personnalités se complétant parfaitement. Le texte, un brin provocateur, laissant transparaître entre les deux une rencontre amoureuse qui n'arrivera pas, est très poétique et évocateur.

 

Grand Lièvre
Le dernier album est "Grand lièvre". Ce disque date de 2011 et deux chansons retiennent mon attention : "Qu'est ce que ça veut dire", pour son évocation de la maladie, de la vieillesse et de l'incompréhension qui en découle... J'aime beaucoup l'orgue de Slim Batteux qui vient en nappes successives et participe à la progression du morceau. Et "Sans pitié pour le cheval", qui parle de la folie humaine qui s'est emparée du monde en 1914, provoquant la Première Guerre Mondiale et ses 10 millions de morts, une boucherie inutile et sans fin.

 

LE LIEN EN PLUS DE LA MONTAGNE

Après des nouvelles de Thonon,  un petit rappel avec le livre de F. LARDREAU que j'ai chroniqué... et qui a l'honneur de France info

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/livres-et-jeunesse/leurs-montagnes-32-personnalites-racontent-de-fabrice-lardreau_6150627.html

Jean-Louis Murat, décédé en mai dernier, en parle avec beaucoup de respect et de pudeur et il l'a chantée surtout, notamment avec le titre Col de la Croix Morand.

Fabrice Lardreau nous fait découvrir les liens de toutes ces personnalités avec la montagne et nous fait entrer par cette voie dans l'intimité de chacun. Comme si parler de la montagne impliquait une certaine posture d’humilité et de dépouillement.

L'auteur sera présent au FIFAV pour une rencontre vendredi 17 novembre à 14h. (LA ROCHELLE)

http://www.surjeanlouismurat.com/2023/09/bibliographie-9-fabrice-lardreau-leurs-montagnes-32-personnalites-racontent.html

 

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 15 Novembre 2023

- Bon, Madame Florence, faudrait voir à justifier votre poste, y'a  beaucoup  de monde à la porte, vous savez!   Le job de  bénévole non indemnisé souffre-douleur du blog de Paulo, ça fait rêver!  Et j'ai connu des plumes à barbe nettement plus enclines à faire tout le boulot à ma place!  Alors,  et que ça saute, il y a une soirée coopérative de Mai à Paris, go go...                  - Euh, plait-il  Paulo?              - hein?                           -PAULO!           - .euh.. désolé... Vous sierait-il  de vous rendre à un concert voir le charmant Coco, ça serait super sympa pour vos lecteurs de leur proposer votre avis?

 

 

L’Elysée Montmartre, Le Trianon, La Cigale… Remonter le boulevard Rochechouart, c’est replonger dans tant de souvenirs de concerts, de découvertes et de rencontres - Jean-Louis Murat était au Trianon pour ce qui fut son ultime concert parisien… Tout au bout, alors que Rochechouart est devenu Clichy, presque discrète à un angle de rue, la salle qui évoque des grands noms de la chanson française, qui a vu passer Brel, Brassens, Vian, Gainsbourg, Gréco, celle qui depuis toujours fait émerger des artistes, Les Trois Baudets met ce soir l’Auvergne à l’honneur : en ce jeudi 9 novembre, la Coopé de Clermont y est invitée (c'est le cas une fois par an semble-t-il : Belfour avait joué en 2021). 

Les fauteuils rouges au sous-sol se garniront au fur et à mesure de l’avancée de la soirée, mais même encore un peu clairsemé (20 heures pétantes pour le début, j’ai bien failli être en retard) le public accueille avec enthousiasme Coco Macé. Coco, c’est notre découverte de l’an dernier au week-end “Murat, Yes sir !”, avec sa reprise de “Montagne” toute en sobriété et émotion. Ce soir la formation à trois fait résonner bien joliment ses textes  tour à tour inquiets, tendres, mélancoliques. Il dessine à nouveau la montagne, ses paysages, ses habitants - la sienne, c’est le puy Mary, qui regarde le Sancy par delà le moutonnement du Cézallier. Petit nuage accroché au cou, voix douce et sourire rayonnant même quand l’intranquillité ou une forme de dureté pointe, Coco chante l’intime, des histoires d’amour, sa tendresse pour sa fille, le temps qui passe… et avance vite d’ailleurs en sa compagnie. Déjà sont annoncées les dernières chansons, le set ne dure que 30 minutes et il est temps de céder la place à Argil.


 


 

Ah

Eux aussi sous le nom d’Hiver Pool se sont illustrés par une belle reprise sur l’album Aura aime Murat, une relecture inspirée du “Monde intérieur” (ci-dessous), véritable invitation au départ, à l’envolée.   Anna de Noailles, George Sand, Verlaine, Baudelaire, ce soir ils présentent des mises en musique de poèmes du 19ème et 20ème siècle, autour de la célébration de la nature. La musique, les voix mêlées où domine celle, envoûtante, de Théotime, portent au plus haut le lyrisme des textes, nous enveloppent dans l’atmosphère d’un paysage glacé de Verlaine ou la communion avec le monde de celle qui se rêve arbre… Le set culmine avec “Élévation” de Baudelaire, qui offre à nouveau une longue envolée (Bertrand Louis en propose également une magnifique interprétation sur son disque dédié aux Fleurs du mal).

La salle s’est remplie peu à peu, et la scène se fait plateau de théâtre : on y dispose des fleurs dans des vases, trois livres, parmi lesquels, la poésie étant décidément à l’honneur ce soir, je distingue un recueil de René Char. Les musiciens se préparent, vêtus d’une combinaison noire ornée de dessins. Tout est en place pour l’arrivée de Lémofil (nom qui me laissait dubitative mais suscitait carrément les sarcasmes  de  Pierrot, -vous connaissez son mauvais esprit-, heureusement qu'il n'a pas vu le nuage sur la tête de Coco, les bermudas et le bandeau de pirate sur le jeune chanteur d'Argil...)


 

 

La lumière s’éteint, le bruissement de la salle s’apaise. Arrive un jeune homme avec une valise… et déjà nous voilà saisis, toutes réserves balayées. La langue et le phrasé, le flux de cette parole poétique nous transportent instantanément sur un quai de gare, dans le déchirement et les espoirs d’un départ pour un ailleurs rêvé. La présence scénique, dense, habitée, peu à peu se déploie, capte nos regards, embrasse tout l’espace. Dans le deuxième morceau, chant douloureux de ceux qui sont restés, me vient tout à coup l’image de Jacques Brel (référence revendiquée, je le verrai après), pour son intensité, cette poésie d’un chagrin, d’une rage livrés sans retenue ni prudence. Le début d’un autre morceau, “Jusqu’au bout du monde”, me fera par la suite penser  fugitivement à “Jeff”, sa main tendue à l’ami découragé, qui ouvre chez Lémofil sur des horizons dessinés, l’impulsion à partir ensemble, vite, parce qu’ “il y a la prudence qui nous rattrape en courant”... Dans cette recherche d’expressivité, tout ce qui peut porter les textes, les faire sonner, tout ce qui peut nous faire vibrer est convoqué, sans que rien ne devienne jamais systématique : la scansion du slam, le parler de la poésie, le flow du rap, la chanson, et même des bribes de narration pour faire le lien entre les morceaux, et des musiciens les personnages d’un récit. La belle et riche composition musicale suit, lie, porte le tout. Plus qu’un enchaînement de chansons, c’est un spectacle qui nous est offert, c’est beau et brûlant. La salle transportée se soulève d’ailleurs pour une standing ovation. “C’est la première fois” sourit Lémofil, pas sûr dans un premier temps de pouvoir assurer un rappel, mais qui finit par nous offrir un dernier morceau enragé.

 

 

 

Il serait sans doute très artificiel de chercher une spécificité auvergnate à ces trois groupes aux inspirations bien différentes. Pourtant on a goûté tout au long de la soirée le soin apporté à l’écriture, la présence des poètes, la peinture des paysages et de la nature, une dimension lyrique assumée, et la tension entre le chez soi et l’ailleurs, le départ et le retour rêvé ou accompli. Tout pour combler des fans de Jean-Louis Murat…

Et c’est décidé, dès ce soir je retourne voir Lémofil sur scène (mercredi 15/11)

 

 

- Et bein qu'est-ce qu'on dit ? hein?  merci PAULO!  Mais enfin, y retourner ce soir? Dois-je rappeler ce que Murat disait de Brel?  hein?     euh, ok...  

 

Coco Macé:  instagram  soundcloud

Site officiel:  ARGIL

Lémofil :   facebook  instagram

 

LE LIEN EN PLUS

On a vu ARGIL invité de France 3,  il y a peu c'était les amis du Voyage de NOZ avec Stéphane Pétrier qui avait eu droit à l'invitation:

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Rédigé par Florence

Publié dans #divers- liens-autres

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Publié le 13 Novembre 2023

J'ai déjà dû vous transmettre des photos de cet endroit... Un de mes coins favoris... et quand on peut profiter d'une fenêtre de soleil au milieu de cette pluie, cela fait du bien. J'espère que ça vous fera le même effet.

De cette crête du sud-Bugey dans l'Ain -pas loin du lieu de la renaissance du ramequin-,  la vue s'étend de la Haute-Savoie (Chablais - abondance-, Mont-Blanc et Aravis - reblochon), Savoie (Vanoise - bleu de termignon-, Bauges -Tome-...), Isère (Chartreuse -galet-, Grandes Rousses, Taillefer...),  Drôme (Vercors - bleu de sassenage- Saint-Marcellin), Ardèche (Cevennes -picodon-), Rhône (Monts du Beaujolais -persillé-), et la Loire (Pilat -rigotte)... tous les départements de l'ancienne Rhône-Alpes... avant qu'on soit obligé de faire de l'humanitaire avec les auvergnats et leur apprendre à faire du fromage...   (pour reprendre une vanne- inversée- chère à Jean-Louis Murat-)

 

 

Clichés n°61 : Ain Automne
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chemin du renard:

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Les montagnes:

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Hier, un peu plus loin (avant-pays savoyard), au dessus du Rhône:

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #montagne - rando et photos

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Publié le 6 Novembre 2023

Cette semaine, en deux jours (vendredi et samedi), deux jeux télé de France TV ont interrogé les candidats sur Jean-Louis Murat... et ce n'est pas brillant. Dans "tout le monde a son mot qui à sa place à prendre" ou un truc dans ce genre, les candidats ne trouvent pas, même si Olivier Minne reprend plusieurs fois "chanteur auvergnat"... et dans "questions pour attendre le Journal régional",  il faut attendre la toute fin pour qu'un candidat glane un malheureux point. 

Les deux émissions  n'ont pas la même production (Nagui et Freemantle) et il s'agit donc d'un hasard.

Voici les extraits (son faible): 

Pas d'erreur dans les énoncés, comme en mars dernier, sur TF1.  La question était : qui a chanté "la maladie d'amour"? avec 4 photos de chanteur dont Murat et Sardou... Il fallait trouver Sardou.... sauf que Jean-Louis a bien-sûr intitulé une de ses chansons ainsi également.  http://www.surjeanlouismurat.com/tf1-12coupsdemidi-jeu-images-chaudefour-neige-2023-03-jeanlouismurat

 

Enfin, voilà... tout ça, tout ça... C'est lundi... 

 

 

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 3 Novembre 2023

Il y a bien longtemps je numérotais les articles nombreux réalisés en piochant dans les vidéos youtube, dailymotion... J'ai abandonné petit à petit en privilégiant souvent mes chers amis du LIEN EN PLUS pour écouler les fonds de tiroir. 

Je me résous -en attendant les actualités 2024 : livres (x et y), documentaire (z?)  et autres rendez-vous  (a, d, d)- de reprendre le concept pour alimenter un peu.  L'équation a beaucoup d'inconnus pour en parler. 

 

1) On commence par la chanson hommage... qui devient un genre en soi... après Fred Signac, Denis des Rues, les Dory4, Alain Klingler ... et en attendant  DC...   c'est Maison9  ("projet musical familial") qui propose ceci: 

 

2) Ici, c'est un autre style... l'hommage en musique... ici électronique:

 

3) Du côté des covers: 

Je ne crois pas - il fut un temps où je me rappelais de tout mais je suis trop vieux désormais-  avoir partagé cette version live d'Adèle Coyo, la participante du disque "aura aime Murat". 

PS: Son disque sort enfin le 17/11, une release party a lieu au Fotomat le 1/12.  https://www.adelecoyo.fr

4) Un petite virée dans les chaines passe forcement par un petit arrêt "archives"... et un voyage dans la télé des années 80, ça ne se refuse pas... enfin, quand on a 3 minutes à perdre. 

L'interview, c'est plus sympa! 

5) Je ne vous ai pas parlé de l'événement par les amis Antonin et Alexia du 26/08 dernier. Il en existe une vidéo avec :   

Ode à Jean Louis Murat (Par Soleil Brun & Alexia Aubert) Valbonne, Le 26 Août 2023 -Foule Romaine - French Lynx - Sentiment nouveau - J'ai fréquente la beauté - Il neige - amour n'est pas querelle - Si je devais manquer de toi - Elle était venue de Californie - Zibeline Tang - L'Au-delà

Voici une salle paroissiale qui est bien utilisée!

Enfin, il a été mis en ligne le concert de Lons Le Saunier...  La voix n'est pas très à mon goût, mais les amateurs d'harmonica pourront assouvir leur plaisir coupable. 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #vieilleries -archives-disques

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Publié le 27 Octobre 2023

J'ai fait l'article précédent très vite fait sans prendre le temps de recherche. Il s'agissait de vous parler d'un concert hommage ce vendredi 27/10 au Café du Palais à Lons Le Saunier.  JLR (merci) me signale des vidéos du projet (même si ce soir il y aura un bassiste en plus).

Comme l'année dernière où j'ai raté d'un jour le concert à Dijon, je suis passé à Lons hier... 

Il y a des enfants un peu turbulents lors de cette captation. Sur le Mont Sans Souci, ça nous rappellera presque Jean-Louis en train de babiller... 

https://www.facebook.com/Sacreblues.harp

Voilà pour ceux qui avait projeté les sources de La Loue, les reculées, et de s'avaler du Mont-Dore d'OR... 

LE LIEN EN PLUS

 

L'archiviste en chef Five-R a modifié le nom d'affichage de sa chaine Dailymotion en "Passion Murat". C'est l'adresse à connaître pour se replonger dans des archives. https://www.dailymotion.com/five-r

Mais il a mis en ligne sur youtube une belle séquence live, l'émission Pollen de 94 avec Foulquier avec un excellent son:

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 25 Octobre 2023

Bonjour 

Je n' en sais pas plus... Mais je vous partage ceci.

Le lien en plus

"De fait, son album La Symphonie des éclairs provoque un éblouissement rare, du même ordre – et ce rapprochement n'engage que l'autrice de ces lignes – que jadis Cheyenne Autumn de Jean-Louis Murat. L'impression de pénétrer dans un univers à nul autre pareil, d'emprunter un passage secret vers des sentiments nouveaux..."

https://www.marieclaire.fr/zaho-de-sagazan-interview-la-symphonie-des-eclairs,1461715.asp

Le lien en plus

Je vous ai parlé du livre de F. Lardreau. libération aussi: 

https://www.liberation.fr/forums/trente-deux-personnalites-par-les-monts-emerveilles-20230911_ZNMPUZOLRBAZHBPUAANYNDE24E/

Le lien en plus 

On a déjà croisé Sinaïve ici. Il cite encore Murat: 

https://www.popnews.com/2023/09/11/sinaive-il-fallait-creer-son-propre-modele/

 

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #2023 après

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Publié le 10 Octobre 2023

bonjour,

Je crois que j'ai fait la bise à Stéphane Reynaud l'autre jour à Orcival. Je ne me voyais pas me rapprocher de certains, mais Stéphane, je voulais aller lui témoigner de ma sympathie. Il a toujours été très gentil avec moi, sa timidité est touchante, et il y a notre fraternité montagnarde:  En été 2008, je descendais des Cornettes de bise, montagne du Chablais, dans un sentier alternatif, sous un couvert de végétations, et humide..  voilà que dans une partie bien raide, portant un gros sac à dos en bon papa, surgit un batteur en plein effort... et sa famille. Tout le monde est bien surpris qu'un fan le débusque là! La rencontre est furtive, l'endroit ne se prêtait pas à plus... mais c'était rigolo.

Je ne suis pas le seul qui l'apprécie tant l'article du Dauphiné Libéré paru dimanche a fait plaisir aux fans sur les réseaux sociaux.  J'arrive donc un peu tard, et je vais donc tenter d'apporter mon petit plus.

En attendant, voici donc l'article récent:  https://www.ledauphine.com/culture-loisirs/2023/10/07/l-ex-batteur-de-jean-louis-murat-stephane-reynaud-garde-le-tempo?fbclid=IwAR152S_psgWnnAfW1wpQMWTc08_Z5rnNG2OflATobsN46_41-ygA7slZ6nU

 

« Jean-Louis Murat était l’artiste avec un grand A » : son ex-batteur, Stéphane Reynaud, garde le tempo   Pascal Arvin-Bérod - 07 oct. 2023 
Après avoir accompagné durant 20 ans Jean-Louis Murat, le batteur Stéphane Reynaud est de retour dans le Chablais. S’il parle volontiers de ses souvenirs et son admiration pour le musicien auvergnat, aujourd’hui il participe à des projets et donne des cours de batterie avec son fils.
Après avoir accompagné durant 20 ans Jean-Louis Murat, le batteur Stéphane Reynaud est de retour dans le Chablais. S’il parle volontiers de ses souvenirs et son admiration pour le musicien auvergnat, aujourd’hui il participe à des projets et donne des cours de batterie avec son fils.
Dans cet “atelier du rythme” où il transmet son art avec passion, vingt ans de complicité avec Jean-Louis Murat continuent d’inspirer le batteur Stéphane Reynaud.
Caisses et fûts, pédales et cymbales comme s’il en pleuvait, garnissent cet “atelier du rythme”, aménagé au rez-de-chaussée du domicile de Stéphane Reynaud. La pièce idéale pour un cours de musique. De ceux que dispense le batteur thononais, associé à son fils Léonard dans Guitar drum lab, une petite structure via laquelle père et fils forment à la musique en groupe.
« Une façon, aussi, de m’ancrer », ajoute Stéphane Reynaud. Le Chablais n’a jamais cessé d’être son port d’attache, entre deux enregistrements ou deux tournées aux côtés de Jean-Louis Murat. Deux décennies de fidélité à l’auteur-compositeur-interprète, brutalement disparu le 25 mai dernier. De quoi charrier un flot de souvenirs.
À commencer par Lilith , double album qui fête ses vingt ans. Stéphane Reynaud n’a pas oublié. « Fred Jimenez, un ami bassiste qui jouait avec Jean-Louis, m’appelle pour me dire que ce dernier recherche un batteur. Je dis ok, on me donne rendez-vous au studio. Je n’ai même pas passé d’audition. Nous avons enregistré à Paris puis nous sommes partis en tournée dans la foulée. »
Entre le Chablaisien et l’Auvergnat, le courant passe d’emblée. Une passion commune pour la soul et le rhythm’n’blues des années 50 et 60 a servi d’accélérateur. « Jean-Louis était fin connaisseur. Il s’intéressait aussi au jazz et à la musique classique » souligne, toujours admiratif, le batteur.
Autre dénominateur commun, leur aversion partagée pour un « milieu parisien branché » que ces deux provinciaux attachés à leurs terres ont côtoyé. « J’ai bien essayé de m’installer à Paris mais… je ne suis pas un citadin », reconnaît Stéphane Reynaud. Et d’évoquer le souvenir de la ferme de Jean-Louis Murat, où celui-ci aimait à recevoir ses musiciens.
Au fil d’albums enchaînés à un rythme soutenu, le batteur a appris à composer avec le versant médiatique de son métier. « La télé embellit tellement les choses. Les journalistes à la recherche du buzz chauffaient Jean-Louis. Arrivait toujours ce point de rupture, qui pouvait le faire passer pour quelqu’un de détestable. » La scène est un autre jardin dans lequel chanteur et batteur se sont épanouis. « Grand fan de cyclisme ou de Formule 1, Jean-Louis y voyait une dimension sportive. J’aime cette idée. »
Un rythme soutenu que le Covid a brisé. « Je n’ai pas repris de tournée depuis le deuxième confinement, un peu lassé aussi, il faut dire, d’être souvent sur la route », confie Stéphane Reynaud.
Son activité, quelque peu recentrée géographiquement, se partage désormais entre plusieurs projets, dont celui du trio du pianiste Pascal Wintz. Et, naturellement, dans cet “atelier du rythme” où il déploie une notion qui lui est chère, celle de transmission.
Une pièce emplie de musique, de passion et aussi d’un grand absent, à jamais présent. Jean-Louis Murat, salue avec émotion son batteur, était « l’artiste avec un grand A, avec ce que cela peut comporter d’excès, dans l’exagération comme la gentillesse. »
Bio express : itinéraire d'un batteur
Classique, jazz, rock… On écoute de tout chez les Reynaud. Stéphane, le cadet, découvre la batterie à 11 ans. Il essaye d’autres instruments mais sa décision est prise tandis qu’il accompagne, dans la cave de ses parents, le groupe de son frère. « Une révélation. » Dans les bacs du disquaire Jacques Favrat, il fouine, découvre, s’emballe. Après deux ans de solfège, il opte pour un apprentissage empirique. Puis c’est le temps des groupes de bal, et celui du conservatoire d’Oyonnax, aux côtés d’un professeur féru de jazz. À 16 ans, il tourne en première partie des Inmates. « 16 ans, c’était un peu jeune mais on se crée un réseau. » Avec les Bordelais de Kid Pharaon, il enregistre outre-Manche. De retour dans son fief, alors qu’il dispense ses premiers cours de batterie, l’aventure Murat est sur le point de le happer.
Murat à "Taratata", Johnny à Genève
Outre Murat, Stéphane Reynaud a accompagné en tournée le Suédois Peter von Poehl, avec lequel il a – de même qu’avec Murat- enregistré “Taratata”.
Au sein de son groupe Daddy-O, il a accompagné Johnny Hallyday. « C’était à Genève. Nous avons joué du rock’n’roll des années 50. J’ai été scié ce soir-là par sa voix. »
Beau souvenir également que le tandem Murat-Reynaud, seul sur scène en 2013, lors de la tournée Toboggan.
Autre tandem, celui formé avec son fils Léonard. Leurs cours sont ouverts à tous.

 

En 2011, un article du même genre, où il était aussi question de sa collection de vieilles batteries:  à lire ici

 

Au Koloko 2011 (concert pour ClermAuvergne), je capte la section rythmique que la France et la Suisse de la musique envie à Murat... et dont certains profiteront tout de même (au fil des années, on a parlé à l'occasion: Marc Aymon, L'autre Philippe).

des nouvelles de Stéphane Reynaud... et  des souvenirs avec Stéphane Reynauddes nouvelles de Stéphane Reynaud... et  des souvenirs avec Stéphane Reynaud
des nouvelles de Stéphane Reynaud... et  des souvenirs avec Stéphane Reynaud

- Stéphane Reynaud dans les MANIACS de Genève... qui ont bien bourlingué (notamment aux cotés des Thugs, et des Needles de Fred Jimenez) et réalisé plusieurs albums.  Article ici et une page wikipédia (en allemand), et une chaine youtube

En 2009:

https://www.discogs.com/fr/artist/509098-St%C3%A9phane-Reynaud  (il n'a pas participé au très intéressant disque "égyptien" du groupe... Petit clin d'oeil à un projet non abouti de Murat).

Ensuite, Stéphane jouera notamment avec les KID PHARAONS (pas de rapport avec l'Egypte cette fois). Il portait déjà le gilet mais on le voit faire quelques mouvements chorégraphiques de baguette que l'on n'a peut-être pas vu en accompagnant de Murat!):

 

 

 

 

- Saut dans le temps:  à l'occasion de LILITH  (Batteur magazine N°162)

 

 

 

On termine par la tournée toboggan évoquée dans le premier article, Stéphane et Murat en duo...

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Rédigé par Pierrot

Publié dans #divers- liens-autres, #2023 après

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